Revue de presse du 28.10.2019

Anonyme • 28 octobre 2019
Article dans le groupe [ARES] Personnel
Table des matières
Information/orientation - Les universités s’ouvrent aux rhétos cette semaine
Entrepreneuriat étudiant - Seconde Vie pour les sépultures
Événement/HERS - Conférence-débat « La mort, parlons-en tant qu’il fait beau »
  •  
  •  
Information/orientation - Les universités s’ouvrent aux rhétos cette semaine

...Comment bien choisir ses études supérieures …

Page 2
* La Libre Belgique : édition nationale, Liège, Hainaut, Brabant Wallon, Bruxelles
 

Belgique p. 8

Comment bien choisir ses études supérieures ?

Rencontres avec des conseillers d’orientation, conférences, ateliers… Plusieurs universités ouvrent leurs portes aux étudiants du secondaire cette semaine.

Table des matières ↑

Les universités s’ouvrent aux rhétos cette semaine

Page 8
* La Libre Belgique : édition nationale, Liège, Hainaut, Brabant Wallon, Bruxelles
 

Cette semaine sera placée sous le signe de la découverte pour les étudiants de fin de secondaires qui, soucieux de préparer dès à présent la suite de leur parcours d’études, sont tentés par l’université. Toutes les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sauf l’ULB, ouvrent en effet leurs cours (ou en partie) entre ces 28 et 31 octobre. Parfois, des activités spécifiques sont également organisées à l’intention de jeunes gens susceptibles de venir un jour grossir leurs rangs.

Cours, ateliers et activités

Impossible de répertorier ici la totalité de l’offre bien détaillée sur les sites de l’Université Saint-Louis-Bruxelles, de l’UNamur, de l’UMons, de l’ULiège et de l’UCLouvain. Une large palette d’horaires et de matières y est décrite, ainsi que les conditions d’accès (c’est gratuit mais attention, il faut parfois s’inscrire), et divers événements spécialement planifiés pour les visiteurs du congé de Toussaint.

Parmi ceux-ci, des rencontres avec des conseillers d’orientation sont souvent prévues, ainsi que des conférences et des ateliers centrés sur la question du choix. De nombreux rendez-vous ludiques complètent le programme, en guise de première plongée dans la vie étudiante.

Comment bien choisir ses études supérieures ? Les étudiants d’aujourd’hui peuvent facilement disposer de très nombreuses informations.

Quels conseillers d’orientation ?

Le Siep (Service d’information sur les études et les professions) et le Cediep (Centre de documentation et d’information sur les études et les professions), organismes les plus connus en Fédération Wallonie-Bruxelles, proposent une impressionnante collection de publications. Dont les Guides Formations/Métiers du premier et le Guide des Hautes Écoles et le Guide des universités remis à jour, pour chaque année scolaire, par le second. Par ailleurs, l’un et l’autre offrent différents services gratuits. Plutôt orientés conseils pour le premier (notamment via plusieurs salons qui prennent place dans différentes villes du pays) et documentation pour le second.

En matière de conseils d’orientation, le premier interlocuteur du jeune est son école secondaire, via son conseil de classe ou le centre PMS auquel elle est rattachée. La plupart des établissements prévoient aussi des “journées rhétos” pour aider les élèves à y voir plus clair. À noter, dans le même ordre d’idées, que la plupart des Hautes Écoles organisent des journées portes ouvertes, dans la deuxième partie de l’année scolaire.

Une tendance plus onéreuse est en train d’exploser. De plus en plus de coachs d’orientation scolaire développent une activité professionnelle basée sur ce créneau, en présentiel, en ligne ou par visioconférence. Mais toujours payante. Quelques clics suffisent pour plonger dans une marée de sites… Comment choisir ? Le bouche-à-oreille reste sans doute l’une des meilleures armes contre une dépense inutile.

Les tests et forums sur Internet

Sans gaspiller un euro, des tests sont à disposition sur la Toile. Les deux plus utilisés sont le Test de Holland et le Test Cursus. Le premier consiste à définir son profil “Riasec” (pour les initiales des six profils possibles : réaliste, investigateur, artistique, social, entreprenant et conventionnel) en répondant à 90 énoncés, afin de découvrir les métiers qui y sont liés. Le second, mis en ligne par le Centre d’information et d’orientation de l’UCLouvain, permet d’identifier les domaines et les familles d’activités professionnelles liées à son vécu. Ces tests et les autres, ludiques, ont pour principal mérite d’aider le jeune à mieux se connaître. C’est la base d’un choix opportun.

Autre conseil : parler, échanger, s’informer sur les expériences des autres. Un forum très dynamique est notamment proposé sur le site de l’ASBL Bruxelles-J. Les internautes s’interrogent et se répondent sur divers thèmes dont l’enseignement supérieur.

Plutôt université ou Haute École ? Et quelle est la meilleure ? Suivrai-je mes frères, sœurs, amis ? Dois-je commencer tout de suite ou prendre une année sabbatique ? Dans quelle mesure faut-il tenir compte des débouchés professionnels (et consulter, par exemple, la liste des métiers en pénurie publiée sur belgium.be) avant d’entamer un cursus ? Et de mes résultats en secondaires ? Y a-t-il un niveau prérequis ou un test ou examen d’entrée ? Combien cela va-t-il coûter ? Pourquoi ne pas étudier à l’étranger ? Il faut bien quelques mois et toutes les ressources disponibles pour balayer des paramètres aussi différents…Monique Baus

Table des matières ↑
Entrepreneuriat étudiant - Seconde Vie pour les sépultures

Seconde Vie pour les sépultures

Page 4
* Sud Presse : La Province
 

Tout a commencé par tradition et entraide familiale. Cyril et Timothée, tous deux originaires de Frameries, ont pris l’habitude d’aller entretenir les sépultures de leurs aïeux. Par le bouche-à-oreille, les deux amis ont commencé à recevoir des demandes de personnes qui n’ont plus le temps ou la possibilité d’aller entretenir leurs tombes.

« On étaient dans la voiture, après avoir nettoyé une sépulture. On s’est demandé : on se lance ? », se souvient Timothée. « Le lendemain, on était en route pour s’inscrire comme indépendants. » Un défi de taille, qui s’est révélé gagnant. Le portefeuille de clients s’élargit tandis que les deux jeunes amis continuent leurs études.

Grand défi

« On jongle entre les études, les jobs étudiants et l’entreprise », explique Cyril. « Tous les bénéfices obtenus avec Seconde Vie sont directement réinjectés dans l’entreprise. » Les deux jeunes ont en effet pour objectif de devenir indépendants à titre principal après leurs études.

A cette période de l’année, le jeune duo est particulièrement demandé, pas facile donc de tout gérer. « Avant la Toussaint, on ne sait quasiment plus aller en cours », plaisante Timothée. Les deux étudiants essaient de rentabiliser un maximum leur temps. Pour leurs travaux de fin d’année, ils ont choisi des sujets en parfaite concordance avec leurs projets : le tabou de la mort dans la société et l’aménagement des cimetières.

Un rythme soutenu que les jeunes sont contents de partager à deux. Amis d’enfance et maintenant collègues, Cyril et Timothée sont heureux de s’épauler l’un l’autre. « Déjà, on se partage les tâches. Mais surtout, c’est toujours plus facile à deux. On se soutient et on se booste lorsque l’un d’entre nous se démotive par exemple », raconte Timothée.

Contacts humains

Il faut dire que ce n’est pas toujours facile. Les jeunes travaillent souvent avec des personnes en deuil. « Mais c’est ça qui est le plus beau aussi dans notre travail : le contact humain. On apprend tous les jours, on partage. C’est ce que l’on préfère dans ce métier », racontent les jeunes Framerisois. « On aime rendre service et surtout, on se rend utile. C’est ce côté qui manquait dans nos études et qu’on a trouvé ici. »

Pour s’améliorer, les jeunes hommes n’ont pas hésité à demander de l’aide. « Personne ne nous a expliqué comment nettoyer ou rénover une tombe. On a testé différentes choses, on a demandé conseil. Avec mon père, on a même créé une machine pour soulever les pierres tombales lorsqu’il faut les rehausser », raconte Cyril.

Les démarches

Seconde Vie propose l’entretien mais aussi la rénovation des sépultures, du lettrage au rehaussement en passant par l’ornement. Ils prévoient toujours un rendez-vous préalable avec le client pour discuter et comprendre leurs envies.

Héloïse Wibaut

Table des matières ↑

Encore étudiants, Cyril et Timothée...

Page 4
* Sud Presse : La Province
 
 

Encore étudiants, Cyril et Timothée ont lancé leur activité indépendante. Ils brossent, frottent, raclent, désherbent... Sur www.laprovince.be, ils nous expliquent en vidéo tous les outils nécessaires à leur mission.

La photo avant / après parle elle-même du résultat.

H.W. / C.V.

Table des matières ↑
Événement/HERS - Conférence-débat « La mort, parlons-en tant qu’il fait beau »

Agenda

Page 14
* Le Soir : Wallonie
 

Pour ses 30 ans d’existence, l’ASBL Accompagner Lorraine, équipe de soins palliatifs à domicile, propose « En toute Inquiétude » de Jean-Luc Piraux, le samedi 9 novembre à 19 h 45 à la salle de spectacle de l’Isma, rue de Bastogne à Arlon. Tickets en vente au Park Music d’Arlon. PAF : 10 euros et 5 euros pour les étudiants.

A noter par ailleurs que la Plate-forme des Soins palliatifs en Luxembourg organise une conférence-débat avec Gabriel Ringlet le vendredi 13 décembre à 20 heures à la Haute Ecole Schumann, rue de la Cité 64 à Libramont, sur le thème : « La mort, parlons-en tant qu’il fait beau ». Infos : 084-43.30.09.

P.A.F : 12 euros.

Table des matières ↑